Émile Bergerat semble avoir été un centriste. D'origine bourgeoise, il est politiquement républicain, mais sans pour autant s'opposer au Second Empire. Par contre, il condamne les excès de la Commune. Il n'apprécie pas les juifs de la finance, sans que ça ne l'empêche de fréquenter et d'apprécier ceux des arts et des lettres. Il se rattache au Parnasse, considérant Théophile Gautier comme son maître, mais fréquente fort bien les naturalistes, particulièrement Daudet, et parle de Flaubert comme d'un autre maître. Par contre, le Symbolisme — "le croassement des volapuks" — ne trouve pas grâce à ses yeux. Les Souvenirs d'Émile Bergerat sont en quatre volumes. Second volume, la phase critique de la critique Troisième volume, la Vie Moderne, le Voltaire, le Nom Quatrième volume, le martyre théâtral |
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