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Ami d'enfance de Cézanne, ce dernier l'introduira au Café Guerbois où il fréquentera l'élite impressionniste. Journaliste, il participera aux polémiques de son temps, l'impressionnisme d'abord, puis l'Affaire Dreyfus.
Comme écrivain, il se veut le chef de l'école naturaliste. Il publie les Rougon-Macquart, une suite de vingt romans se voulant une Histoire naturelle et sociale d'une famille sous le Second Empire. Sa théorie de la société étant comme un organisme, avec ses maladies, très inspiré du Positivisme, sera en fait l'étalage des préjugés bourgeois de son temps.
Dans L'Oeuvre il décrira le milieu des Arts et se mettra à dos plusieurs de ses anciens amis. Il reniera d'ailleurs son engagement auprès de la peinture moderne.
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Mon cher Monet, je ne puis m'inscrire à la souscription dont vous me parlez. C'est chez moi un parti pris absolu de ne pas
acheter de peinture même pour le Louvre. Que des amateurs se syndiquent pour faire monter le prix d'un peintre dont ils ont des toiles,
je le comprends, mais je me suis promis moi, écrivain, de ne jamais me mêler de ces sortes d'affaires. Lettre de Zola à Monet, 1889 Au sujet de la souscription pour l'Olympia. |
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