Orphelin encore tout jeune, il travailla d'abord dans une imprimerie, mais bientôt vint à Paris où il s'intéressa aux Lettres et mena une vie de bohème, souffrant de faim et de maladie. Sainte-Beuve le dit influencé par les oeuvres d'André Chenier, de Auguste-Marseille Barthélémy et de Pierre-Jean de Béranger. Il publia quelques contes dans les journaux, mais mourut de tuberculose - comme ses parents - juste après la publication de son recueil Le Myosotis.
Philibert Audebrand, dans Derniers jours de la Bohême mentionne dans le chapitre qu'il consacre au poète:
Classique il était, classique il est resté, mais en admettant l'idée d'un rajeunissement dans la forme.
C'est une habitude de le comparer, pour sa vie misérable et sa mort précoce, à Chatterton, Gilbert, et parfois Malfilâtre ou Glatigny.
Bibliographie:
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